Bienvenue sur la page dédiée aux poèmes de Bruce Lee. Icône des arts martiaux et figure cinématographique emblématique, Bruce Lee était également un poète et un philosophe profond, dont les écrits révèlent une richesse de pensée et une introspection remarquable.
Bruce Lee, né Lee Jun-fan le 27 novembre 1940, a laissé un héritage durable non seulement dans le monde des arts martiaux et du cinéma, mais aussi dans la littérature et la philosophie. Ses poèmes sont une fenêtre sur son âme, reflétant ses croyances, ses luttes et ses aspirations. Ils transcendent le simple art martial pour toucher à des thèmes universels tels que l'amour, le temps, la nature, et l'expérience humaine dans son ensemble.
Parmi ses œuvres les plus notables, on trouve "The Frost," un poème qui met en perspective la brièveté de la vie et l'importance de saisir chaque instant. Traduit par Bruce Lee, ce poème est un bel exemple de sa capacité à exprimer des concepts complexes avec simplicité et éloquence. Un autre de ses poèmes célèbres, "The Humming Bird," illustre sa capacité à capturer l'essence de la nature et à la relier à l'expérience humaine, offrant ainsi une métaphore puissante de la quête personnelle.
Les poèmes de Bruce Lee sont plus qu'une simple extension de ses talents physiques ; ils sont le reflet de son esprit et de sa philosophie de vie. Ses écrits poétiques offrent une perspective unique sur la façon dont il percevait le monde et interagissait avec lui. Ils sont une source d'inspiration, montrant comment un individu peut transcender les limites de son domaine pour explorer et exceller dans de multiples disciplines.
Sur notre site, vous pourrez explorer une sélection de ses poèmes, chacun accompagné d'une analyse et d'un contexte pour enrichir votre lecture. Chaque poème est un voyage dans l'esprit de Bruce Lee, vous invitant à explorer les profondeurs de sa pensée et à découvrir comment ses idées pourraient résonner dans votre propre vie.
Nous espérons que cette collection vous inspirera autant qu'elle nous a inspirés, et que vous découvrirez dans les mots de Bruce Lee une source de réflexion et d'inspiration. Bonne lecture!
Le soleil mourant se couche tristement à l'horizon lointain,
Le vent d'automne souffle sans pitié.
Les feuilles jaunes tombent
Du sommet de la montagne, deux ruisseaux se séparèrent à contrecœur. Un à l'ouest, un à l'est. Le soleil se lèvera à nouveau le matin, les feuilles redeviendront vertes au printemps mais devons-nous être comme le ruisseau de montagne pour ne plus jamais se revoir ?
L'amour est comme une amitié qui prend feu
L'amour est comme une amitié qui prend feu
Au début une flamme, très jolie, souvent chaude et féroce mais toujours seulement légère et vacillante
À mesure que l'amour vieillit, nos cœurs mûrissent et notre amour devient comme des charbons profonds brûlant et inextinguible
« Ma femme et moi ne sommes pas un et un. Nous sommes deux moitiés qui forment un tout. Il faut s'appliquer pour être une famille. Deux moitiés assemblées sont plus efficaces que l’une ou l’autre moitié ne le serait seule.
Je ne veux ni posséder, ni posséder,
Ni être possédé.
Je ne convoite plus le paradis,
Plus important encore, je ne crains plus l'enfer.
Le médicament pour ma souffrance
J'avais en moi dès le début, je,
Mais je ne l'ai pas pris.
Ma maladie venait de moi-même,
Mais je ne l'ai pas observé
Jusqu'à ce moment.
Maintenant je vois que je ne trouverai jamais la lumière
À moins que, comme la bougie, je ne sois mon propre carburant,
Me consommer.
Jeune homme,
saisis chaque minute
de ton temps.
Les jours passent vite ;
Bientôt, toi aussi, tu
vieilliras.
Si vous ne me croyez pas,
voyez là, dans la cour,
comment le gel
brille blanc, froid et cruel
sur l'herbe qui était autrefois verte.
Ne voyez-vous pas
que vous et moi
sommes comme les branches
d'un seul arbre ?
Avec ta joie,
Vient mon rire ;
Avec ta tristesse
Commence mes larmes.
Amour,
La vie pourrait-elle être autrement
Avec toi et moi ?
Le vent est en plein gambade avec la pluie.
En dehors du jardin une petite feuille jaune
S'accrochant désespérément à sa branche mère
Je ramasse la feuille
Et la mets dans le livre,
Lui donnant une maison.
L'amour est comme une amitié qui prend feu.
Au début, une flamme,
Très jolie, souvent chaude et féroce
Mais toujours et seulement la lumière et le scintillement.
À mesure que l'amour grandit, nos cœurs mûrissent
Et notre amour devient comme des charbons,
Brûlant en profondeur et inextinguible.
Les rayons jaillissent de l'est comme des flèches violettes
Le colibri commence son vol
Heureusement, il vole dans le ciel violet à la recherche de la belle rose rose
Au sommet de la montagne, loin du monde humain, il trouve la rose rose en attente
Au sommet de la montagne, il plane, en silence au-dessus de la rose et attend que l'aube du violet passe à l'or
Le soleil passe à l'après-midi, le temps de se séparer à contrecœur du colibri s'élève au-dessus des trémies, fait le tour de la rose trois fois, puis vole vers son nid, loin à l'est
Par ma fenêtre, j'ai regardé le cramoisi de près du jour, suivi du calme argenté de la nuit
Dans ma chambre solitaire pas de remous sonores, qui sait que toute la soirée au lit je ne suis pas malade et même pas endormi?
Une seconde est une heure une heure devient une nuit, alors que je suis allongé en attendant que le soleil se lève
Oh que je pourrais être un colibri et voler si vite à tes côtés En rêve, la chose la plus merveilleuse arrive, car je ne suis plus un colibri et elle n'est plus une rose rose. Il n'y a plus de midi ou de nuit mais toujours le matin.
Comme je souhaite qu'un jour le rêve aussi ne soit plus un rêve.
La brise sur la rive souffle déjà frais et doux
La fusion lointaine du lac et du ciel n'est qu'une trace rouge de coucher de soleil
Le profond silence du lac me coupe tout tumulte
Le long de la rive solitaire, je me déplace avec des pas lents
Seules, les grenouilles perturbées se précipitent
Ici et là, il y a des maisons, des perles fraîches de lumière en sortent
Une lune éblouissante brille des profondeurs solitaires du ciel
Au clair de lune, je me déplace lentement vers une forme de gung-fu
Corps et âme sont fusionnés en un seul.
Qui sait quand la réunion sera jamais.
Cela pourrait être pour des années ou
Ça pourrait être pour toujours.
Prenons alors un morceau d'argile,
Mouillez-le, tapotez-le,
Et faites une image de vous
Et une image de moi.
Puis écrasez-les, écrasez-les,
Et, avec un peu d'eau,
Pétrir ensemble.
Et hors de l'argile, nous allons refaire
Une image de toi et une image de moi.
Ainsi, dans mon argile, il y a un peu de vous,
Et dans ton argile, il y y a un peu de moi.
Et rien ne nous séparera jamais.
Vivant, nous serons pour toujours dans le cœur de l'autre,
Et morts, nous serons enterrés ensemble.
Bien que la nuit ait été faite pour aimer,
Et le jour revient trop tôt.
Et donc le temps passe, espérons-le
Bien qu'elle soit loin.
D'autres pensées peuvent aller et venir,
Mais la pensée de toi,
Reste profondément dans mon cœur.
Pluie,
Nuages noirs,
Fleurs fanées et lune pâle,
Le vol pressé des oiseaux,
Annoncent l'automne solitaire,
Il est temps de nous séparer,
Nuages flottant à travers le ciel,
Doucement, lentement s'étirent,
Et se fondent les uns sur les autres.
Tant de paroles échangées,
N'ont pas épuisé nos sentiments,
Longtemps nous serons séparés,
Mais jamais n'oublie que mes pensées,
Par toi toujours seront remplies.
Les bons moments ne reviendront plus,
Dans un instant, la séparation sera consommée,
Les jours seront courts,
Les nuits seront longues et remplies d'ennui.
Lis ce poème, je te quitte mais lis-le,
Lorsque le silence du monde s'empare de toi,
Ou lorsqu approche l'inquiétude,
Longtemps nous serons séparés, Mais jamais n'oublie que mes pensées,
Par toi toujours seront remplies.
Soleil couchant quitte l'horizon,
Le vent d'automne balaie la terre,
Emportant les fleurs fanées.
Du sommet de la montagne,
Deux fleuves se séparent.
L'un coule vers l'ouest, le second descend vers l'est.
Au matin le soleil brillera.
Au printemps les fleurs s'ouvriront.
Mais comme ces deux fleuves de montagne,
Jamais plus nous ne nous croiserons.
Au pied de la colline de l'ouest descend le soleil vif,
Recouvrant d'or tout l'alentour.
Sur la crête solitaire, bien au-dessus du manteau de brume,
se dresse un dragon d'or,
Voyant ses rêves disparaître dans le soleil mourant de l'ouest.
Quand je te prends dans mes bras,
Je me perds encore une fois,
Dans ce paradis que moi seul connais.
En cet instant pour toi et moi,
Un bateau d'or nous porte au loin,
En liberté sous le soleil,
Bien loin du monde des humains,
Les vagues heureuses nous entraînent.
Trop de questions tuent la passion,
Trop de lumière blesse mes yeux,
Trop de vérité m'anéantit.
Mais à travers toutes les épreuves,
L'amour de toi perdure.
De l'eau du marécage, si l'on cherche à tirer la boue,
Elle n'en sera que plus troublée.
Laisse donc reposer l'eau.
Si elle doit un jour s'éclaircir,
Cela viendra naturellement.